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La rédaction PETTRI

TOPS SÉRIES 2022 DE LA RÉDACTION

Dernière mise à jour : 20 janv. 2023

Tous les ans, nous vous proposons nos tops culturels : continuons donc avec les séries, avec une passionnante année 2022 très variée ! Voici les tops de notre rédaction.


  1. Euphoria (S2) : avec cette saison 2 plus expérimentale, à l’intrigue plus diluée, Euphoria livre huit épisodes en état de grâce, parfaitement exécutés et sublimes en tous points. De par leur esthétique déjà (le chef opérateur Marcell Rév est définitivement un génie), leur musique (Labrinth toujours géant, mais différemment), leur casting (cette queen de Zendaya). Mais aussi par leur richesse thématique, marquée par le deuil, l’amour, l'affection, la rancœur… Un chef d’œuvre au firmament, tout simplement. Sam Levinson est au sommet de son savoir-faire, un des auteurs les plus passionnants de notre époque.

  2. Atlanta (S3 & S4) : après 4 ans d’absence, notamment à cause de sa carrière musicale et de la pandémie, Donald Glover revient livrer deux ultimes saisons à sa série Atlanta. Entre afro-surréalisme et onirisme sociétal, on retrouve avec bonheur nos quatre personnages principaux, d’abord en tournée en Europe, puis de retour dans la capitale de Georgie. L’écrin est toujours aussi soigné, les récits annexes sublimes de trouvailles évocatrices et certains épisodes tout bonnement grandioses. La série est définitivement un chef-d’œuvre.

  3. The Bear (S1) : cette première saison est tout simplement ma plus grosse surprise de l’année, toute œuvre artistique confondue. J’ai eu comme l’impression de découvrir un espèce de “Cauchemar en cuisine” réalisé par Scorsese avec l’intensité d’un George Miller. Pour autant, ça n'empêche pas la série d’être immensément émouvante. Plus que ça, c’est avec un impact dingue que The Bear saisit son spectateur avec une honnêteté et une puissance infinies.

  4. The Afterparty (S1) : c’est une fusion de comédie et de whodunit très méta avec des seconds couteaux comiques enfin mis sur le devant de la scène : Ben Schwartz, Sam Richardson, Tiany Haddish, Ike Barinholtz, Zoe Chao, Jamie Demetriou, Dave Franco. Le duo Chris Miller et Phil Lord font de chaque épisode un événement, qui prend la forme d’un genre de film différent : romcom, thriller, film d’action, teen-party movie, comédie musicale… Ils parviennent à un résultat aussi surprenant qu’enthousiasmant, qui reviendra contre toute attente pour une deuxième saison. Déjà culte.

  5. House of the Dragon (S1) : cette série à grand spectacle est un spin-off prequel de Game of Thrones, dont j’étais à peu près le seul à adorer la fin. Et à n’en pas louper, on assiste ici à un meilleur principe narratif que les débuts de la série-mère. Superbe réalisation, casting au top (notamment Milly Alcock, Olivia Cooke, Paddy Considine et Matt Smith), épisodes somptueux, le tout sur une sublime partition de Ramin Djawadi. Ça défonce, très hâte de voir la suite !

  6. American Horror Story - NYC (S11) : retour étonnant que cette onzième (!) saison de l’anthologique American Horror Story. Et en même temps, pas tellement… Ryan Murphy nous livre une énième œuvre centrée sur l’expérience homosexuelle dans la société américaine, cette fois sur fond de la propagation du sida dans la communauté new-yorkaise dans les années 1980. C’est aussi édifiant que génial. Une des meilleures saisons de cette série à la qualité variable.

  7. Severance (S1) : dans un monde où le télétravail se normalise, Severance a un concept génial : une entreprise propose à ses employés de dissocier leur soi au travail de leur soi en dehors. Ça évite qui plus est d’emporter à l’extérieur des secrets industriels. Menée par un Ben Stiller inspiré, cette première saison a le droit à un superbe écrin, une distribution géniale portée par un Adam Scott (Party Down, Step Brothers) géant. Severance arrive à passionner de bout en bout, jouant habilement de son esthétique léchée et glaciale pour créer de réels cliffhangers efficaces, dans une bulle d’intelligence pure, tantôt étonnant, tantôt ludique, dans une intrigue rondement menée, dont il me tarde de découvrir la suite en saison 2.

  8. Stranger Things (S4) : encore une redite pour le hit de Netflix, mais probablement sa saison la plus ambitieuse et réussie. Dans ce blockbuster de série, on a le droit à des épisodes plus longs, pour un rendu spectaculaire et émouvant, incarné et bluffant sur le côté technique. Hâte de découvrir la conclusion de la série la saison prochaine, et que Hawkins retrouve enfin son calme.

  9. Barry (S3) : L’ancien tueur à gages devenu acteur interprété par Bill Hader revient enfin pour une troisième saison, retardée par la pandémie, et il est plus que jamais dans la mouise ! Démasqué par son prof d’acting Gene Cousineau (Henry Winkler) et trahi par son mentor Fuches (Stephen Root), Barry doit réparer les pots cassés entre sa nouvelle carrière et la situation catastrophique dans laquelle il s’est mis. Sa compagne Sally (Sarah Goldberg) atteint enfin le succès, et Hank (Anthony Carrigan), l’inénarrable parrain tchétchène, fait face au cartel bolivien. Un récit tendu, drôle et incroyablement mené, pour une saison folle d’une série qui s’améliore encore et encore. Pour preuve, comment est-ce possible que Bill Hader devienne peu à peu un des réalisateurs les plus stimulants et doués du moment ? Son travail sur cette saison est si dingue, qu’on a immensément envie de voir ce qu’il va faire sur la prochaine saison, dont il assurera cette fois la mise en scène de l’intégralité des épisodes.

  10. Better Call Saul (S6) : dernier tour de piste pour un Jimmy McGill définitivement devenu Saul Goodman. De sa relation avec Kim à son association de plus en plus grande avec la pègre locale, cette ultime saison en explore toute la tragédie, jusqu’au conséquence des événements post-Breaking Bad. Grande saison pour grande série, porté par un Bob Odenkirk et une Rhea Seehorn grandioses. Et un finale bouleversant de beauté.

  11. Andor (S1) : alors qu’on avait à peu près tou.te.s perdu.e.s espoir dans les série labellisée Star Wars, Tony Gilroy vient nous réconcilier avec l’univers en nous proposant Andor, prequel assumé à un des personnages centraux de Rogue One, sortie quelque peu décevante de 2016, sur laquelle il avait assuré les rewrites et reshoots intensives. Il en extrait une série subtile, intéressante et belle, dans laquelle il explore les balbutiements d’une révolution, dans un anti-système à contre-courant des codes américains et disneyiens. Étrange donc, mais bienvenu, dans des arcs très digestes qui donnent l’impression d’avancer, avec une large place donnée aux personnages. C’est probablement ce qu’a produit de mieux la saga hors épisodes dits Skywalker. Hâte de voir la suite !

  12. Gangs of London (S2) : la première saison m’avait fait l’effet d’une bombe en 2020. Retardée par la pandémie, cette deuxième mouture explore davantage des ramifications mafieuses dans le milieu londonien, avec puissance et violence, tant physique qu'émotionnelle. C’est vraiment stylé et prenant, et il serait bon que plus de monde découvre la force de cette proposition frontale et millimétrée.

  13. Pam & Tommy (mini-série) : une mini-série qui conte la tumultueuse affaire de la sextape de Pamela Anderson et Tommy Lee? Ok. Vue par Seth Rogen et Evan Goldberg? Un grand oui ! Deux des meilleurs producteurs actuels s'attèlent donc à un sulfureux fait-divers ayant secoué la planète du divertissement dans les années 1990. Quand le batteur d’un grand groupe de rock (Tommy Lee de Mötley Crüe) et la star ultra sexy de la série du moment (Pamela Anderson d’Alerte à Malibu) se marient, tous les magazines people s’affolent. Mais quand une vidéo intime de leurs ébats fait irruption sur un internet encore balbutiant, c’est l’effervescence. La vidéo volée au domicile du couple est d’abord vendue en VHS, piratée, puis mise en ligne gratuitement, se propageant encore et encore, participant à donner encore plus d’importance au web, qui s'installe alors encore plus dans les foyers américains et mondiaux. Mais au-delà du phénomène, la série s'intéresse à raison sur l’humain : Pamela et Tommy d’abord, couple passionnel mais fragile, dont l’amour est indéniable, mais que les retombées fragilisera. Rand ensuite, qui a volé la-dite sextape, qu’on excuse et nuance tout au fil des huit épisodes qui composent la mini-série. Humilié et ruiné par Tommy dans une sombre affaire de travaux, ce menuisier ne trouve pas de meilleure idée pour se venger que de voler le coffre-fort de celui qu’il ne peut pas traîner en justice. Dedans, il va trouver l’objet au centre de l’affaire, qu’il va ensuite distribuer à la vente sur internet avec la complicité de Miltie, un pornographe de la vallée de San Fernando. Parce que Rand a fait du porno il y a de ça quelques années, où il a notamment rencontré Erica, avec qui il est toujours marié mais séparé. Outre les conséquences sur la vie, la relation et la carrière de ce couple en crise, Pam & Tommy explore donc les ramifications de l’image des femmes, de la propriété intellectuelle à l’heure des nouveaux médias, de la normalisation de la pornographie et d’un constat de l’état du couple occidental. Pas moins. En outre, l’exercice de mimétisme des réelles figures est sidérant de réalisme, notamment le couple-titre, Sebastian Stan et surtout Lily James se retrouvent transformés, presque méconnaissables derrière prothèses et maquillages qui les fondent dans leur personnages. Ils sont d’ailleurs tout bonnement géniaux, plutôt magnétique et puissant pour le premier, douce et poignante pour la seconde. Ils sont soutenus par un Seth Rogen tout en nuance (et en coupe mullet), qui donne à son personnage d’ordure une vraie dimension touchante et loin de tout manichéisme. Une prouesse. Pour compléter le tableau, Taylor Schilling et Nick Offerman sont de vrais scene-stealers, à tous les coups. La puissance de cette mini-série se déploie au travers d’une narration passionnante, mise en scène (à l’économie) avec un réel savoir-faire et toujours avec une large ambition. Une petite bombe à découvrir d’urgence.

  14. Station Eleven (mini-série) : adaptée d’un roman de Emily St. John Mandel, cette mini-série prend le parti de nous plonger dans un monde ravagé par une pandémie globale (ça vous rappelle quelque chose?), entre l’apparition du virus et les vestiges de l’humanité, vingt ans plus tard. On suit Kirsten, une petite fille (Matilda Lawler) devenue adulte (Mackenzie Davis), ainsi que son protecteur Jeevan (Himesh Patel). Kirsten rejoint assez tôt la Travelling Symphony, un groupe d’artistes itinérants jouant du Shakespeare à ce qu’il reste de l’humanité. Une lueur d’espoir par l’art, inspiré par un roman graphique unique, qui donne une singularité toute particulière à cette histoire aussi douce qu’âpre. Le showrunner Patrick Somerville avait opéré sur The Leftovers et Maniac, les réalisateurs Hiro Murai et Jeremy Podeswa sur Atlanta ou Game of Thrones. De quoi donner envie, non ? Et bien la série dépasse les espérances et touche en plein cœur, pour une dystopie toujours subtile et à la narration surprenante. À découvrir absolument.

  15. Le Flambeau - Les Aventuriers de Chupacabra (mini-série) : deux ans après La Flamme, Jonathan Cohen revient avec une suite à sa série parodique décomplexée. Cette fois, après s’être attaqué au Bachelor (comme l’avait fait Burning Love, la série de Ken Marino dont il a tiré La Flamme), ses auteurs et lui se penchent sur le cas Koh Lanta, avec Le Flambeau. On y retrouve Marc, le pilote débile interprété par JoCo, mais aussi quelques autres têtes croisées dans la “saison 1”, telles que Ana Girardot, Géraldine Nakache, Leïla Bekhti, Camille Chamoux, Pierre Niney, Ramzy Bedia mais aussi… Adèle Exarchopoulos, qui était pourtant morte ! Le casting est complété par les nouveaux venus Gérard Darmon, Jérôme Commandeur, Kad Merad, Laura Felpin, Natacha Lindinger, Jonathan Lambert, Mister V, Thomas Scimeca ou Sébastien Chassagne. Et si on ressent parfois un entre-soi un peu dommage, la série est si généreuse sur les propositions comiques et débiles qu’on est obligé d’adhérer. Et ce malgré un rythme fluctuant et des épisodes et personnages plus drôles que d’autres. Mais au final, et plutôt étonnamment, comment résister à Patoche, l'inénarrable beauf interprété par Kad ?

Mentions pour les émissions : Les Rencontres du Papotin, Le Late avec Alain Chabat, Murderville.


  1. Chloe (mini-série) : portée par Becky (Erin Doherty), un personnage principal complexe qui enquête sur la mort de son ancienne meilleure amie (la Chloe du titre) en se faisant passer pour quelqu'un d'autre, cette mini-série vous hantera longtemps après l'avoir terminée. Le savoir-faire britannique à son meilleur.

  2. Hearstopper (S1) : romantique, tendre et subtil, cette série teen LGBTQ+ est une merveille de bout en bout, et un beau portrait de l'adolescence. Elle incorpore aussi parfois de l'animation juste ce qu'il faut (c'est l'adaptation d'un roman graphique). Le casting, avec beaucoup de nouvelles et nouveaux venu.e.s, est excellent. Un état de grâce qu'on espère retrouver en deuxième saison.

  3. Stranger Things (S4) : cette saison est l'origin story de cette série qu'on ne présente plus. Malgré quelques défauts d'écriture (on pense à un arc en particulier), cette quatrième saison est la meilleure depuis la première pour moi. Une grande réussite avec des moments très forts (Kate Bush bien sûr) !

  4. Sur Ordre de Dieu (mini-série) : un fait divers terrifiant au sein d'une communauté mormone dans les années 1980. Après deux épisodes d'introduction assez longs, la série décolle pleinement ensuite et vous marquera fortement. Casting superbe et écriture magnifique.

  5. The Afterparty (S1) : cette comédie policière dont chaque épisode adopte un genre cinématographique différent est sans doute LA série comique de l'année passée ! A (re)voir absolument.

  6. Smiley (S1) : une rom-com LGBTQ+ drôle et émouvante à Barcelone avec une réalisation dynamique, une écriture qui fait mouche et un casting parfait (Carlos Cuevas et Miki Esparbé en tête). Grosse recommandation !

  7. Drôle (S1) : humaine, émouvante et vraiment drôle (évidemment), la nouvelle série de Fanny Herrero (la créatrice de Dix pour cent) est un petit bijou, malheureusement annulé par Netflix. La série trouvera-t-elle une seconde vie méritée ?

  8. The Bear (S1) : la (sur)vie d'un petit restaurant à Chicago. En surtension permanente, cette série déborde aussi d'humanité. Tout le casting est incroyable, notamment Jeremy Allen White dans le rôle principal de Carmy, qui vient d'être récompensé par un Golden Globe il y a quelques jours.

  9. Berlin 63 (S3) : les sœurs Schöllack et leur mère continuent de vivre les changements sociétaux de l'Allemagne des années 60 pour notre plus grand plaisir. Une saison 3 à la hauteur des deux précédentes (Berlin 56 et Berlin 59).

  10. La Chronique des Bridgerton (S2) : toujours très amusante et romantique, cette deuxième saison est aussi réussie que la première ! On attend la troisième avec impatience.

  11. Le Flambeau - Les Aventuriers de Chupacabra (mini-série) : peut-être un peu moins bien que La Flamme (car l'effet de surprise est passé), on est quand même ravi.e.s de retrouver une grande partie du casting avec des nouvelles et nouveaux venu.e.s qui tirent leur épingle du jeu (Kad Merad et Gérard Darmon en tête). Poussive parfois, mais souvent drôle, on espère que l'équipe fera une parodie d'un autre jeu télé très vite (pourquoi pas Top Chef, tiens !) !

  12. Oussekine (mini-série) : Avec beaucoup de dignité et de sobriété, cette série revient sur l'affaire Malik Oussekine, victime de violences policières en 1986. Une belle réussite, superbement incarnée par tout le casting.


  1. Drôle (S1)

  2. Heartstopper (S1)

  3. High School (S1)

  4. Borgen (S4)

  5. Derry Girls (S3)

  6. Poupée Russe (S2)

  7. Dead to Me (S3)

  8. Big Mouth (S6)

  9. Inside Job (S2)

  10. La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre (mini-série)


  1. Euphoria (S2) : Euphoria revient très fort avec une saison deux plus sombre mais tout aussi puissante que la première. Une intensité de tous les instants grâce à une écriture et une réalisation intelligentes, et un casting plus qu'efficace. C'est un tourbillon d'émotions constant. Le tout souligné par une bande son exceptionnelle, et une image toujours aussi sublime.

  2. Dahmer – Monstre : The Jeffrey Dahmer Story (mini-série) : la mini-série de 10 épisode créée par Ryan Murphy a divisé l'opinion publique cette année. Esthétisation et apologie du meurtre ou non, il faut malgré tout reconnaître à la série ses qualités indéniables : une réalisation superbe et une écriture qui nous plonge directement dans un univers malsain et terrifiant. Mention spéciale pour la performance d'Evan Peters, aussi fascinante que malaisante.

  3. House of the Dragons (S1) : nous retrouvons enfin, et avec plaisir, l'univers de Game of Thrones : ses paysages somptueux, ses décors et ses costumes. Et surtout ses dragons ! Cette série préquel s'arque autour de la famille Targaryen, et le moins que le puisse dire c'est que la recette fonctionne ! Complots et intrigues à la cour ; la multitude de personnages laissent entrevoir une nouvelle guerre captivante pour le trône de fer.

  4. The Crown (S5) : étrange écho avec l'actualité et la disparition d’Élisabeth II, la saison 5 de The Crown nous présente une reine rattrapée par sa santé, et dépassée par les événements alors même que le couple héritier bat de l'aile. Cette saison tourne autour de la séparation imminente de Charles et Diana, et ses conséquences, tant sur le royaume que sur le drame qui plane autour d'une Lady Di qui commence à se rebeller. Une saison de tension politiques et personnelles passionnante !

  5. The Handmaid's Tale (S5) : dans sa fuite, June nous fait redécouvrir Gilead et sa dictature misogyne. Que se passe-t-il dans les campagnes ? Comment s'organise la résistance ? Qui en sont les leaders ? Un renouveau de la dystopie qui apporte un vent de fraîcheur sur la série. Mais aussi un surplus d'actions, et un cliffhanger qui laisse le spectateur en haleine pour une prochaine saison.

  6. Stranger Things (S4) : une nouvelle saison qui change quelque peu de format, mais toujours un plaisir de retrouver notre groupe d'amis nerdy, et de les voir grandir. La saison 4 nous replonge dans les 80's, et sa bande son qui décoiffe. Une évolution visuelle impressionnante, et une avancée dans l'intrigue étonnante. On en sait enfin plus sur les origines d'Eleven et du monde à l'envers.

  7. En Thérapie (S2) : cette saison 2 se déroule à la sortie du premier confinement. À nouveau, la série utilise des événements traumatisants collectifs (les attentats de novembre 2015 pour la saison 1) pour mettre en exergue les événements traumatiques chez ses personnages. Un petit bijou d'écriture et un jeu d'acteur d'une vraie justesse.

  8. Only Murder in the Building (S2) : un nouveau meurtre a lieu à l'Arconia, mais cette fois c'est Mabel qui est accusée. Notre trio intergénérationnel (Selena Gomez, Steve Martin et Martin Short) reprend du service afin de l'innocenter. Un nouveau Cluedo au sein de l'immeuble se met en place. Une série toujours aussi amusante que piquante ; on se prend très vite au jeu à la recherche du coupable.

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